Sclérose en plaques

    Chantal, 35 ans, vient consulter pour des troubles de la sensibilité: victime d’un grave accident de la circulation huit ans plus tôt avec traumatisme crânien et perte de connaissance, elle n’avait retrouvé une sensibilité normale de ses mains qu’un an et demi plus tard. Mais certains troubles neurologiques ont alors fait leur apparition: perte de la force musculaire des jambes, reprise des paresthésies au niveau des mains…

    Finalement un diagnostic de sclérose en plaques (SEP) a pu être établi et depuis deux ans elle reçoit de l’interféron et de la cortisone au moment des poussées qui restent fréquentes.

 

    Le praticien a d’abord pratiqué l’Ortho-Bionomy pour les douleurs ostéo-musculaires et pour rééquilibrer énergétiquement la patiente.

 

    Il a ensuite recherché au TRM le type d’atteinte: «sclérose en plaques», «gaine de myéline» et déterminé l’origine virale. Ici c’est «virus de la mononucléose infectieuse» qui faisait baisser le bras, alors que «virus de l’hépatite», «virus de la rougeole», «virus de la rubéole», ne faisaient pas baisser le bras. Il a donc traité «gaine de myéline» et «virus de la mononucléose infectieuse» avec l’HG. A la fin de la séance, le bras ne baissait plus quand la patiente disait

«sclérose en plaques».

 

    Suivent plusieurs consultations pour un nouvel accident de la circulation, cette fois heureusement beaucoup moins grave, pour de la sciatique, pour une allergie à la poussière (traitée avec l’HG), et pour des douleurs dorsales. En HG, vont être traitées, «impression de ne pas être entendue», «peur de mal faire», «dégoût de la mentalité», qui semblent liées à des difficultés au travail et un licenciement mal vécu.

 

    A la dernière consultation, la patiente se plaint d’une nouvelle poussée de SEP: elle est fatiguée et présente de nouveaux troubles de la sensibilité au niveau des mains. Le TRM révèle une fois de plus une atteinte de la gaine de myéline, la sclérose en plaques, une peur de l’échec, l’impression de devoir tout recommencer à zéro, l’impuissance.

    Patiente et thérapeutes choisissent finalement d’intervenir par l’HG sur «impuissance» et «réparation des gaines de myéline». A la fin de la consultation, «sclérose en plaques», «peur de l’échec», «sensation de devoir tout reprendre à zéro» ne font plus baisser le bras.

 

    Après cette consultation, elle se sent beaucoup mieux.

 

L’HG permet d’agir à différents niveaux :


_ Au niveau de l’atteinte physique par une ré-harmonisation de la zone atteinte, ici la gaine de myéline. Dans d’autres cas, le praticien agira sur l’insuffisance rénale, le nerf sciatique…


_ Au niveau de la réaction allergique, qui est une réaction exagérée à quelque chose d’inoffensif normalement. L’organisme l’identifie pourtant comme une agression parce qu’il semble l’associer à un événement jugé traumatisant (la sclérose en plaque est une maladie auto-immune).


_ Au niveau de l’atteinte psychique, pour empêcher qu’un événement mal vécu ne perturbe durablement la personne, créant ainsi une peur, un manque de confiance,... susceptibles de favoriser une pathologie chronique comme un cancer, une sclérose…


_- Au niveau « spirituel » : vies antérieures, ancêtres, intrications…


En cas de rechute ou de reprise du processus évolutif, l’HG agira à nouveau après recherche de la cause de cette récidive.


On peut ainsi obtenir des résultats contre des maladies chroniques : streptocoques, hépatite, aspergillose,… Ne vous limitez pas : le seul risque que vous prenez à utiliser l’HG, c’est l’inefficacité. Alors proposez vos services et essayez.