Cancer de la gorge

    Pierre, 69 ans, présente une récidive d’un cancer à la gorge. Il suit une chimiothérapie qui l’affaiblit beaucoup.

    Au TRM, le bras descend à l’énoncé « cancer évolutif de la gorge ». Le praticien recherche dans la vie de Pierre le traumatisme psychique qui a pu déclencher la récidive. Son fils, François, a récemment quitté le domicile familial pour s’installer loin de la maison avec sa copine.

    Au TRM, le bras de Pierre descend quand il dit :«François est parti». Le praticien demande alors à Pierre de répéter la phrase : « François est parti », pendant 5 minutes en même temps qu’il le traite par l’HG. Pendant la séance, le patient se confie et dit que le départ de François a été brutal: il ne l’a pas prévenu, ne vient pas assez souvent et ne l’appelle pas.

 

    Le TRM de contrôle, basé sur la phrase : «François est parti» n’est pas meilleur que le premier. Le praticien choisit donc de reprendre le soin en employant un autre terme. Ce sera: «abandon» que Pierre répète. Durant cette nouvelle séance, le patient est beaucoup plus ému. Il a des difficultés à prononcer le mot «abandon» et raconte au praticien de petites anecdotes concernant sa mère, sa famille et le sentiment d’abandon dont il a souffert dans son enfance.

 

    Au TRM suivant, en employant les termes «abandon», et «cancer évolutif de la gorge», le bras résiste parfaitement.

 

    Le praticien prend ensuite un thé avec Pierre et soudain, éprouve le besoin de toucher la gorge de ce dernier mais se sent repoussé. Il recule donc un peu ses mains et ressent alors des picotements.

En remuant légèrement les doigts autour de la gorge il voit bientôt apparaître «en sensation», comme un morceau de bois planté dans le crâne de son patient. Morceau qui ressort par sa gorge.

 

    A cet instant, Pierre dit qu’il lui est plus facile de bouger sa tête alors qu’il avait du mal à le faire auparavant. Le praticien continue donc à pratiquer les mêmes petits mouvements au-dessus de ce qui lui apparaît comme étant ce «bout de bois», puis s’arrête net, lorsqu’il en ressent le besoin.

 

    Une semaine après cette séance, Pierre fait un scanner : la tumeur a complètement disparu! Pierre a tout de même préféré poursuivre la chimiothérapie, selon le «protocole» établi précédemment. A ce jour, 6 mois plus tard, pas de signe d’évolution.

 

Le cancer métastatique de la gorge est souvent hors de portée des thérapies classiques qui certes augmentent de quelques mois le temps de survie mais ne permettent généralement pas une régression complète des tumeurs.


On notera que le praticien qui a pratiqué l’HG a des capacités de  « médium »  qui lui ont  permis  de  visualiser le travail effectué. Mais un résultat similairepeut être obtenude la même manière et avec autant d’efficacité sans cette visualisation.