Qui peut traiter par Harmonisation Globale ?
Qui peut traiter par Harmonisation Globale ? Tous ceux qui souhaitent le faire… après, bien évidemment avoir appris à se centrer, à s’ancrer, à être en état de « présence
».
Les personnes qui ont l’expérience d’un travail avec des patients, les personnes qui ont fait du développement personnel, Chi-Gong, Tai-Chi, Yoga. Celles qui pratiquent déjà en
énergétique (Ortho-Bionomy, PNL, kinésiologie, etc…) avec des patients peuvent apprendre très facilement, en quelques heures. Les autres devront s’exercer plus longtemps pour
obtenir des résultats.
Mais si vous attendez d’être parfait pour commencer un travail, vous ne commencerez jamais. En
Harmonisation Globale, à partir du moment où le praticien se met en état de canal, d’antenne, l’important n’est pas lui-même mais la qualité du « branchement » qu’il
réussit à maintenir avec l’énergie universelle et avec le patient.
Personnellement, si j’oublie de n’être qu’un canal, si ma volonté s’affirme dans le désir que j’ai à guérir mon patient, je ressens alors une très grande fatigue après la
séance. C’est ma propre énergie qui est utilisée pour le rééquilibrer au lieu que ce soit celle, illimitée et parfaite de l’énergie universelle. Et le résultat est beaucoup moins satisfaisant
pour le patient et pour moi-même !
Les témoignages que j’ai mentionnés dans ce livre, ont été donnés par différents praticiens. Cette possibilité de soulager ainsi tous ces troubles n’est pas réservée à quelques
uns.
Je recommande de commencer à traiter les allergies et c’est seulement quand on arrive facilement à faire le diagnostic des allergies par le Test de Réponse Musculaire qu’on
peut commencer à rechercher d’autres troubles d’origine psychique : si vous faites une erreur dans le diagnostic de l’allergie, le « patient » vous
le dira tout de suite et vous devrez simplement recommencer pour mieux percevoir ce qui perturbe réellement son énergie : vous apprendrez
à discerner les différents « niveaux » de tonus musculaire de son bras et serez mieux à même de déterminer ce qui le fait réellement chuter.
Alors que si vous lui dites d’emblée que ses troubles viennent d’un de ses proches, vous risquez de le perturber. Notez
que ce n’est pas l’attitude des autres qui nous perturbe, mais la façon dont nous la percevons.