Comment expliquer les résultats ?

     L’Harmonisation Globale a été pratiquée par de nombreuses personnes qui ont toutes été très sceptiques au départ, mais qui ont joué le jeu et ont essayé. Elles ont eu des résultats surprenants, inattendus. Dire que c’est un effet placebo ne tient pas quand on voit les résultats sur les bébés, les animaux…


     Comment ces résultats peuvent-ils s’expliquer ?


Les blessures de l’enfance laissent des traces pendant toute la vie :
     Prenons le cas d’un enfant qui a manqué de tendresse (peut-être n’a-t-il pas reçu beaucoup de marques de tendresse ou peut-être avait-il des besoins de tendresse très importants). Devenu adulte, il aura beaucoup de difficultés à donner et à recevoir des marques d’affection. Son conjoint, ses partenaires, ses enfants en souffriront et lui aussi car il ne pourra les satisfaire dans ce domaine. Un tel manque peut être la cause de ruptures, de divorces… mais aussi de troubles du sommeil, d’obésité, de dépression…
     Les personnes qui ont été marquées par un sentiment d’abandon, de rejet, de manque, de jalousie… (la liste est infinie), peuvent rester particulièrement vulnérables à toute situation qui leur rappellera leur stress initial et ce, durant leur vie entière.
     Un travail en Harmonisation Globale sur la tendresse (ou sur n’importe quel autre état émotionnel en cause) permet de libérer les blocages qui se sont créés dans l’enfance pour permettre à l’individu de « survivre » malgré l’insuffisance de marques de tendresse (ou toute autre blessure).


     La personne ne sera alors plus vulnérable dans ce domaine et pourra laisser tomber les défenses « maladives » qu’elle a bâties pour se protéger. Elle pourra ainsi manifester sa tendresse envers un proche sans maladresse, sans peur. Et, de plus, si ce problème avec la tendresse a été la cause d’une intolérance au sucre, il n’y aura plus de fatigue après les repas, les rapports avec l’alimentation seront beaucoup moins conflictuels.


     Il me semble que le cancer est souvent, pour le subconscient du patient, un état de moindre mal, une défense maladive contre une situation qu’il juge intolérable. Ainsi certains cancers du sein pourraient être fabriqués par le subconscient pour se protéger de la peur de perdre un enfant (ou ce qui tient lieu d’enfant symboliquement pour la personne).


     Mais revenons à la question initiale : comment peut-on expliquer les résultats obtenus, comment l’énonciation à voix haute d’une pensée toxique ou le contact avec un allergène, devant un thérapeute, permettent-ils de modifier en profondeur les réactions du patient ?
     La physique quantique, la plasticité du cerveau, l’épigénétique, nous apportent quelques réponses…