Comme les exemples cités plus haut l’ont démontré, les cancers peuvent être abordés de différentes manières en HG.

    Dans certains cas, il est possible de  trouver la cause psychique du cancer par le TRM. Mais il n’y a pas de certitude : on peut traiter une étiologie, mais il est possible qu’il y en ait plusieurs ou qu’il y ait différents aspects à traiter sur cette étiologie. Seul le résultat et les effets sur la tumeur peuvent nous montrer l’efficacité du traitement effectué sur les émotions  en HG. Je pratique donc l’HG en sus des traitements classiques que le patient continue à suivre.
    Il faut toujours garder en tête que, lorsqu’on pratique le TRM,  le  bras  descend  en  cas  de  trouble  énergétique :  si  le patient dit « cancer » et qu’il a peur du cancer, le bras va baisser, même s’il n’a pas de cancer. La seule évocation du cancer fera baisser son énergie.

    Je le répète, le TRM n’est pas un test qui permet de diagnostiquer une lésion. Il met simplement en évidence les troubles énergétiques qui se produisent chez le patient   à l’évocation de facteurs « perturbateurs » connus ou non de lui, donc de faire le diagnostic de ces perturbateurs.

    L’HG peut aussi être utilisée, avec d’autres pratiques alternatives telles que l’Ortho-Bionomy, l’homéopathie, l’acupuncture, pour traiter les effets secondaires du ou des traitements prescrits contre le cancer : douleurs après chirurgie, brûlures après radiothérapie, sclérose, blocage du système lymphatique  avec  un  gros  bras,  nausées,  fatigue,  troubles digestifs et autres répercussions  négatives pouvant accompagner une chimiothérapie...