Newsletter HG avril 2024

 

Bonjour à tous,

 

            Voici le printemps, les jours rallongent… mais pour certains les allergies sont de retour. Voici un exemple d’un enfant que j’ai suivi régulièrement avec un terrain allergique très marqué et des troubles du comportement.

            Heureusement, souvent les allergies sont moins envahissantes et le traitement est plus rapide.

           

            Il y a 4 ans, Maëva était venue me consulter pour les allergies de son fils Julien alors âgé de 15 mois.. Elle-même était allergique aux pollens de graminées et aux poils de chat. Le père  de Julien présentait de l’eczéma. Il avait aussi un frère ainé qui souffrait d’asthme.

            Julien souffrait de nombreuses intolérances alimentaires. Il était sous sérétide et ventoline pour des troubles respiratoires. Ses troubles asthmatiformes ont commencé vers 4 mois et demi.

            Je pratique le test du prénom sur la maman : « Je m’appelle Maëva » : le bras est solide, « je m’appelle Ursule », le bras chute. Je demande alors à Maëva de dire « Je suis autorisée à travailler pour Julien », le bras est solide.

            Puis je demande à Maëva d’imaginer qu’elle se branche avec son téléphone portable sur Julien. Et je demande à Maëva de dire : « Je m’appelle Maëva », le bras n’a pas de résistance, puis « je m’appelle Julien », le bras est solide.

            Maëva est « branchée » sur son fils Julien et je poursuis la séance en étant en lien avec Julien à travers sa maman.

            Je demande à Maëva de dire « j’autorise maman et Thérèse à travailler pour moi » : le bras est solide : nous pouvons commencer la séance pour Julien. (Même si c’est un bébé, si le « sur-conscient de Julien » n’avait pas accepté le soin, nous n’aurions pas traité Julien).

            Nous testons le motif de la consultation exprimée par Maëva pour son fils : « intolérance alimentaire », le bras chute.

            Nous recherchons la ou les origines : « intolérance alimentaire, origine physique » : le bras baisse. « Intolérance alimentaire origine émotionnelle » : le bras baisse. Puis : « intolérance alimentaire origine spirituelle » : le bras baisse aussi !

            Nous commençons par les origines spirituelles : « intolérance alimentaire en lien avec d’autres vies » : le bras baisse. Nous explorons : « intolérance alimentaire en lien avec abandons dans d’autres vies » : le bras chute. « Abandons dans d’autres vies », le bras chute.

            Maëva, toujours branchée sur l’énergie de Julien, répète pendant quelques minutes : « abandons dans d’autres vies », pendant que je suis à côté d’elle en état de présence. Je ressens un poids, puis cela s’allège et tout revient à la normale.

            Au contrôle, « abandons dans d’autres vies » ne fait plus chuter le bras. Intolérance alimentaire en lien avec abandon dans d’autres vies, le bras est solide. « Intolérance alimentaire d’origine spirituelle » : le bras est solide, mais pour « intolérance alimentaire d’origine émotionnelle » : le bras tombe encore.

            Nous poursuivons la recherche de l’intolérance alimentaire au niveau émotionnelle : C’est en lien avec la famille, avec la mère, au premier jour de vie, et c’est « mouvement interrompu » qui est en cause. (Le mouvement interrompu se produit quand aussitôt après la naissance, on sépare le bébé de sa maman. Le bébé qui a vécu 9 mois dans l’énergie de sa mère se sent complètement perdu !)

            Maëva va donc répéter « mouvement interrompu ». Après quelques minutes, le bras est solide avec cette phrase, de même « intolérance alimentaire en lien avec le mouvement interrompu », « intolérance alimentaire d’origine émotionnelle ». Par contre « intolérance alimentaire d’origine physique » entraine toujours une chute du bras.

            Au niveau physique, nous trouvons le vaccin prévenar (vaccin contre le pneumocoque), auquel nous allons ré-harmoniser Julien : Maëva répète « prévenar » pendant que je reste en état de présence. Puis « prévenar » n’entraine plus de chute d’énergie. Mais « intolérance alimentaire d’origine physique » chute encore. Nous continuons notre recherche et cette fois nous trouvons un médicament, l’ « aerius » que Julien a pris pour son terrain allergique. Maëva répète donc « aerius » pour le traitement.

            Ensuite, « intolérance alimentaire » ne fait plus baisser le bras de Maëva.

            Je demande alors à Maëva d’imaginer qu’elle reprend son téléphone portable posé sur Julien. Au test, son bras est maintenant solide pour son prénom et chute quand elle dit « je m’appelle Julien ».

 

            Quand j’ai revu Julien et sa maman 3 semaines plus tard, Julien était un peu mieux au niveau allergique, mais surtout, il était plus calme, arrivait mieux à rester concentré sur ce qu’il faisait.

            Nous avons poursuivi de la même manière pour continuer le travail sur son terrain allergique et son hypersécrétion bronchique. Nous avons trouvé et traité : « intrication avec maman », « j’ai besoin d’être malade pour qu’on s’occupe de moi », « sérétide® (un médicament) ».

           

            J’ai été amenée à traiter ainsi d’autres médicaments pris, des peurs liées à des incompréhensions de l’attitude d’infirmières pendant une hospitalisation, la croyance que sa mère ne l’aimait pas… des révoltes dans d’autres vies…

 

            J’ai revu Julien et sa maman 2 ans plus tard pour des troubles du comportement : il tape et mord les autres enfants à l’école maternelle, ne veut pas quitter sa tétine, montre des signes de jalousie, ne veut pas dormir seul…

            La recherche des origines nous a menés à la perte de jumelles pendant sa vie intra-utérine, ainsi que des vœux dans d’autres vies.

 

            Je revois aujourd’hui Julien et sa maman : Julien est maintenant en dernière année de maternelle et sa maman s’inquiète :

Il a des difficultés à reconnaître les lettres et les symboles en général,

Il a des difficultés à faire des liens avec des camarades,

Il est très émotif,

Il a une otite séreuse (comme cela ne touche qu’un côté, il n’a pas eu de drain).

Il a un besoin de tout emballer.

            Maëva est autorisée à travailler pour son fils, elle se branche de la même manière sur son fils. Le sur-conscient de son fils accepte le travail qu’on va faire sur lui.

            Ce qui fait le plus baisser le bras et ce qui était la première demande de la maman, c’était « les symboles »

            Nous retrouvons une origine spirituelle, dans une autre vie, une initiation difficile. La phrase choisie : « conséquences des initiations dans d’autres vies »

            Au contrôle, après cette première ré-harmonisation, les difficultés à reconnaître les lettres et les symboles ne font plus baissé l’énergie ni l’otite séreuse.

            Par contre, « difficultés à faire des liens avec des camarades » fait toujours baisser le bras.

            La recherche à partir de cette phrase nous amène à des origines physiques uniquement, au corps physique, aux hormones et à la corticosurrénale. Maëva, branchée sur Julien va répéter « corticosurrénale » pendant que je suis près d’elle en état de présence.

            Au contrôle « difficultés à faire des liens avec des camarades » ne fait plus baisser le bras, mais « hypersensibilité » fait toujours chuter l’énergie.

            La recherche de la cause nous amène à la famille, au père, au 2ième mois de vie intra-utérine, et c’est la phrase « papa ne voulait pas de moi » qui fait chuter l’énergie. (en fait le père aurait simplement préféré attendre un peu avant un nouvel enfant), mais cela a marqué l’inconscient de Julien.

 

            Comme pour Julien, l’HG peut nécessiter plusieurs séances. Chaque fois, il y a de petites avancées, mais il faut continuer pour arriver à des vrais changements.

 

 

 

            L’HG peut agir sur de nombreux troubles physiques, émotionnels, mal-être… Je pense que l’HG peut agir en particulier sur de nombreux syndromes neurologiques tels que : Maladie de Lyme persistante, Covid long, Fibromyalgies, Fatigue, Syndrome de fatigue chronique, SEP (sclérose en plaques), maladie de Charcot, douleurs articulaires persistantes, TDAH (troubles de l’attention avec hyperactivité), maladie de Parkinson, troubles de la mémoire…

            Je souhaite faire une étude utilisant l’HG. Je souhaite rencontrer des personnes atteintes de ces troubles (habitant près de Saint-Dié car je souhaite les rencontrer en présentiel). Les consultations seront gratuites, mais je demande aux personnes de s’engager pour 5 séances d’une heure environ. Si vous êtes intéressés, envoyez un mail à therese.quille@wanadoo.fr avec votre numéro de téléphone pour convenir d’un premier rendez-vous.

 

 

            Cordialement et bonne pratique.

 

 

Dr Thérèse Quillé