Travaux de Bruce Lipton sur la membrane cellulaire

     Pour le Docteur Bruce H. Lipton, biologiste, chercheur sur le fonctionnement cellulaire, la vie d’une cellule est régie, non par ses gènes, mais par son environnement physique et énergétique. (Bruce H. Lipton, PhD., biologie des croyances, Ed. Ariane).


     La membrane cellulaire est formée de deux couches de phospholipides plaquées l’une contre l’autre. Les parties des molécules de phospholipides qui se font face ne sont pas polarisées, contrairement aux parties externes. Le centre de la membrane devient ainsi un isolant électrique, imperméable aux atomes et aux molécules ionisés. Cette membrane est parcourue de protéines qui traversent les deux couches de phospholipides ; ce sont les protéines membranaires intrinsèques (PMI). Elles peuvent être classées en protéines réceptrices et en protéines effectrices.


     Les PMI réceptrices sont les organes des sens de la cellule, qui lui permettent de prendre conscience de son environnement. Elles réagissent tant au milieu intracellulaire qu’au milieu extracellulaire. Si une protéine réceptrice se fixe à un signal de l’environnement, un changement de charge électrique se produit, la protéine adopte une conformation « active ». Les cellules possèdent des protéines réceptrices spécifiquement « syntonisées » pour chaque signal environnemental qu’elles doivent lire.


     Certains récepteurs sont sensibles à la présence d’une molécule, d’autres à des champs d’énergie vibratoires, comme la lumière, les sons, les fréquences radio,…


     Les PMI effectrices peuvent être des molécules de transport : des espèces de canaux qui véhiculent le sodium, le potassium. Elles peuvent aussi être des protéines du cytosquelette qui permettent la modification de la forme de la molécule et de sa motilité, ou être des enzymes capables de rompre ou de synthétiser des molécules.


     Les gènes sont de simples « plans » moléculaires servant à la construction des cellules, des tissus et des organes, on peut les comparer au disque dur d’un ordinateur.


     Une cellule peut ainsi continuer à « vivre » sans son noyau, comme cela peut être pratiqué en laboratoire, ou si l’on considère le fonctionnement des globules rouges : ces cellules énuclées continuent à réagir à leur environnement, à transporter oxygène et gaz carbonique pour ce qui est des hématies… Par contre, elles ne peuvent plus s’auto-réparer et doivent être remplacées par d’autres cellules au bout d’un certain degré d’usure.


     En laboratoire, on peut aussi détruire la membrane cellulaire, ce qui entraîne la mort de la cellule, ou rendre inactives ses protéines réceptrices (la conscience), la mettant en état de mort cérébrale, de coma. De même si on inactive les protéines effectrices (l’action), la cellule ne réagit plus à son environnement, ne travaille plus…


     La membrane est la mémoire active de l’ordinateur. Son fonctionnement peut être modifié par la présence de certaines molécules dans son environnement, ou la présence d’agents physiques tels que le son, la lumière, et d’autres ondes électromagnétiques.


     L’HG agirait-elle sur le fonctionnement de la membrane cellulaire ?