Troubles « banals » de l’apprentissage

     Stéphanie a 12 ans. Elle a, comme beaucoup d’enfants, des difficultés avec les mathématiques : en français, pas de soucis de compréhension d’un texte, mais dès qu’il s’agit de mathématiques, elle perd tous ses moyens. Le praticien, après avoir vérifié que Stéphanie répondait à son nom, lui fait tester :


« Difficultés à comprendre les problèmes de maths » : ↓


     C’est donc la phrase qui est choisie. À la consultation suivante, Stéphanie et sa maman me disent que maintenant les maths ne font plus peur à Stéphanie, qu’elle arrive à comprendre sans se bloquer ni perdre ses moyens.

     En Harmonisation Globale, on peut ainsi traiter toutes sortes de difficultés d’apprentissage : Dyslexie, dysorthographie, dyspraxie…


     Le praticien peut simplement faire répéter à l’enfant son trouble. En cas de résultats insuffisants, le praticien peut aider la personne à retrouver l’origine des troubles et à traiter cette origine. Il peut y avoir des origines physiques (traumatismes, intoxications, infections virales à tropisme nerveux…). Il peut y avoir des origines psychiques (vexations, sensations de rejet, dévalorisation de soi, sensations de ne pas être aimé…). Le TRM (test de réponse musculaire) permet de mettre ces causes en évidence, l’HG elle-même de les traiter, avec des résultats vraiment surprenants.


     Vous pouvez essayer auprès de vos proches, le seul risque étant l’inefficacité, mais c’est rare.

     Aurélien, 9 ans, est dyspraxique : il est très maladroit dans ses gestes. En maternelle, il a eu de grosses difficultés de relation avec les enseignantes.

     Le praticien teste : « passage à l’écrit difficile » : le bras résiste 

« Apprentissage des gestes difficiles » : le bras baisse.

« Origine physique dans l’apprentissage des gestes difficiles » : le

bras baisse.

     La recherche de l’origine se poursuit et c’est « apprentissage des gestes difficile dû au méningitec » (un vaccin contre la méningite) qui fait baisser complètement le bras.

     L’HG est donc faite en faisant répéter « méningitec » par l’enfant (écrit sur un papier pour plus de facilité).

     Après ce travail, le bras d’Aurélien résiste tant pour le méningitec que pour l’apprentissage des gestes difficiles.


     À la consultation suivante, le bras résiste toujours aux phrases

précédentes.

     Aurélien recherche avec le praticien ce qui le perturbe encore et c’est : « je suis perdu quand il y a trop d’écriture » et « j’ai peur de me faire disputer si je n’y arrive pas » qui entraînent la chute complète du bras.

     L’HG est donc pratiquée successivement avec ces deux phrases. Pendant le travail, Aurélien a de petites sueurs et la voix qui tremble par moments.


     Après les deux consultations, voici ce qu’Aurélien a écrit au praticien : « À la maternelle, les maîtresses n’étaient pas gentilles, trop autoritaires, et j’avais des soucis à l’école. Mes parents me disputaient à la maison car ils ne savaient pas que j’avais des problèmes. Maintenant cela

va mieux, mais je fais encore quelquefois des cauchemars, je rêve qu’on me dispute, que je n’aurai pas de cadeau à Noël » (il y a encore du travail à faire en HG pour les blessures reçues à l’école maternelle).

     Une psychologue, pratiquant les constellations familiales et praticienne en HG nous raconte son accompagnement de deux enfants, Paul et Louis, qui lui ont été adressés pour troubles du comportement à l’école et parfois à la maison :

     Paul a huit ans et est le second d’une fratrie de trois. Il a beaucoup de mal à suivre une séance d’une demi-heure sans bouger, se lever pour faire des dessins au tableau blanc, ou encore jouer avec des peluches. La praticienne propose à sa maman de travailler en transfert pour Paul sur ses déficits attentionnels.

     La maman se met dans l’énergie de son fils (elle est très surprise de voir son bras résister sur : « je m’appelle Paul », ce qui a beaucoup intrigué son fils présent)… Nous testons différentes situations :

« J’ai un déficit attentionnel » : le bras chute un peu,

« Je suis dyslexique » : le bras s’effondre.


Puis recherche de l’origine de la dyslexie :

« Dyslexie d’origine physique » : le bras s’effondre,

« Dyslexie d’origine émotionnelle » : le bras chute un peu.

     L’exploration de l’origine physique renvoie sur un vaccin, puis sur « vaccin DTpolio » qui entraîne une chute complète du bras.

     Tout en restant dans l’énergie de son fils, la maman répète « vaccin DTpolio » pendant que la praticienne se met en état de « présence ». Pendant le travail, le comportement de Paul change : il demande à la praticienne une feuille de papier pour faire un dessin. Jusqu’à la fin de la séance il restera calme et appliqué sur son dessin (un paysage).

     Le TRM est maintenant résistant pour le vaccin DTpolio, pour la dyslexie d’origine physique et aussi pour l’origine émotionnelle.

     La maman dira quelques semaines plus tard à la praticienne que Paul est maintenant content d’aller à l’école, et qu’à la fin des vacances scolaires de février, il commençait à réclamer pour y retourner… La maman a aussi noté que depuis l’HG, il n’y a eu aucun pipi la nuit, ce qui lui arrivait encore régulièrement (environ une fois par semaine).


 

     Louis, quant à lui, est un peu plus grand. C’est un enfant unique qui a dix ans depuis quelques jours et la praticienne a pu se rendre compte, en l’accompagnant, que c’était important pour lui d’avoir deux chiffres à son âge ! «Je commence à devenir vraiment grand».

     Louis cumule deux problématiques « dys » : dyslexie et une légère dyspraxie qui lui ont valu bien des moqueries de ses camarades. Il est un peu gauche, tombe facilement. Mais son gros problème reste la lecture et l’écriture qui n’est vraiment pas harmonieuse.


     La praticienne propose à ses parents de travailler avec Louis en HG sur l’origine de ses troubles. La maman qui a déjà consulté des magnétiseurs est tout à fait ouverte à un travail énergétique. Elle restera là pendant la séance.

La praticienne teste « dyspraxie », le bras chute.

« Dyslexie », le bras chute également.

     Ne pouvant définir lequel des deux chute le plus la praticienne teste : « dyslexie et dyspraxie », aucune résistance…

     Elle explore alors l’origine de ces deux troubles ensemble : « dyslexie et dyspraxie d’origine…

   Cette fois, c’est « origine spirituelle » qui est retrouvée, puis « origine de mes troubles dys lié à ma place dans la fratrie » : le bras chute complètement et « origine de ma dyspraxie liée à ma place dans la fratrie », le bras chute de la même façon.


     Est alors testé : « je suis le premier » : le bras chute et « je suis le second » : le bras résiste. La maman est très émue et dit qu’en effet elle a été enceinte une première fois alors qu’elle venait de rencontrer le père de Louis, et qu’ensemble ils avaient décidé de ne pas garder l’enfant. La praticienne lui expose alors que souvent les enfants qui suivent une fausse couche ou un avortement, ressentent la présence de l’aîné, même si leur existence n’a été qu’une étincelle de vie.


     Sont ensuite testées les phrases : « mon cher grand frère ou ma chère grande sœur, je sais que tu existes », le bras résiste. « Mon cher grand frère ou ma chère grande sœur, je respecte ton destin ». Louis me dit spontanément qu’il a l’impression que c’est une grande sœur qui lui manque. Nous testons « ma chère grande sœur », le bras résiste. Nous continuons la

recherche en employant « ma chère grande sœur ».

     La maman de Louis est très émue pendant tout ce travail.

     L’harmonisation sera faite avec : « ma chère grande sœur, en ton honneur je vais vivre pleinement ma vie » (ici, la praticienne en HG, utilise ses connaissances en Constellation Familiale). Louis commence à répéter, puis se trouve à un moment donné sans voix. Elle l’incite à continuer à parler le temps que ça revienne. Pendant ce temps, elle observe la maman qui pleure doucement.


     La voix de Louis revient, il lui dit qu’il a chaud dans le corps.

Nouveaux tests : « origine spirituelle de mes problèmes dys », le bras résiste. « J’ai un problème de dyslexie et de dyspraxie », le bras résiste aussi.

     Lors du rendez-vous suivant, Louis dit à la praticienne qu’ils ont donné le nom de « Lisa » à sa grande sœur non née. Que son papa, qui a trouvé cela bizarre au début, était content finalement. Depuis l’HG, Louis ne se ronge plus les ongles !


    Mais le plus surprenant est qu’un mois plus tard, une orthophoniste demandait un rendez-vous à la praticienne. Elle suit Paul et Louis pour leurs troubles dyslexiques. Elle a vraiment noté un « avant » et un « après » au niveau des troubles attentionnels de ces deux enfants. Intriguée, elle a questionné les parents et compris que la praticienne était le point commun entre ces deux enfants. Elles ont pu se rencontrer et parler de l’Harmonisation Globale. Elle est très surprise et demande à continuer à voir… Elle lui a proposé de venir à la formation qui était organisée à Châlons, mais l’orthophoniste n’était pas libre… Peut-être une prochaine fois ? En attendant, elle recommande la praticienne auprès des parents d’autres enfants en difficulté.

     Comme vous le voyez les causes des troubles de l’apprentissage peuvent avoir des origines diverses : physique : infections, vaccins, traumatismes, mais aussi psychique : incompréhension, dévalorisation, et / ou spirituelle (du monde de l’esprit): non-dits, origines familiales, parfois vies antérieures, intrications…


     Le traitement de la cause entraîne non seulement une amélioration spectaculaire des troubles de l’apprentissage, mais aussi d’autres troubles tels l’énurésie, l’onychophagie (se ronger les  ongles) qui avaient la même origine.