Newsletter HG juillet 2025

 

Bonjour à tous et bonnes vacances,

 

            Profitez de ce temps de repos, de ce temps où les obligations se font moins pressantes… Prenez le temps de vous mettre à l’écoute de vous-mêmes, de vos ressentis : qu’est-ce qui vous fait du bien, qu’est-ce qui au contraire vous crée des tensions ?

            Reprenez contact avec des amis, des personnes dont vous vous êtes éloignées parce que pas le temps, parce que dans notre vie « active » tout est minuté !

 

            Je souhaite vous parler aujourd’hui de l’évaluation qui a eu lieu les 13, 14, et 15 juin dernier : Mickaële, Cécile et moi avons accueilli les 13 candidats qui se présentaient. A noter que ces candidats avaient préparé leur évaluation avec un formateur, qui les a aidés à préparer leur dossier, à mettre en mots leurs travail.

            Après la présentation de chacun, nous avons commencé par une courte présentation de l’Harmonisation Globale (HG), puis par un rappel des fondamentaux de l’HG : la demande et la participation des consultants, l’état de présence, le Test de Réponse Musculaire (TRM) et la ré-harmonisation elle-même.

 

            Le lendemain, les candidats ont travaillé en petits groupes pour s’interroger sur l’attitude du praticien, la confiance, la légitimité, la quête du résultat… Nous les avons observés et pu évaluer comment ils avaient assimilé et comment ils pratiquaient le protocole de base au cours des différentes séantes pratiquées.

 

            Nous avons pu répondre à de nombreuses interrogations…, insister sur le fait qu’à l’intérieur du protocole de base, il peut y avoir de nombreuses attitudes différentes selon les consultants, les praticiens, les circonstances… et que tout peut être juste quand on respecte le protocole de base, le non-vouloir, la bienveillance… Le praticien en HG n’est pas un thérapeute, c’est un accompagnateur, un catalyseur. Il permet au consultant de se ré-harmoniser.

 

            Nous avons pu, en considérant la manière de pratique l’HG de chacun recevoir tous les candidats.

 

            Toutes nos félicitations aux nouveaux praticiens : Pascale Agazzi-Grasset, Bettina Baumle, Celia Cottier, Séverine Couralet, Charlotte Dellion, Myriam Duflot, , Elodie Franck, Valérie Gantzer, Agathe Lerolle,  Priscille Mélandri, Juliette Piquet, Sandrine Rambeau, Damien Ruhlmann.

            Nous leur souhaitons beaucoup de joies, d’avancées dans leurs pratiques avec leurs consultants.

 

            La prochaine évaluation en HG est prévue à Toulouse les 31 octobre, 1^ier et 2 novembre prochains.

 

Patricia

 

            Je souhaite vous parler aujourd’hui des consultations avec Patricia. A la première consultation, Patricia était complètement perdue : elle entendait des voix, ça parlait dans tous les sens dans sa tête. De plus elle percevait de nombreux visages qui venaient la perturber, surtout le soir. Elle reçoit un déjà un traitement neuroleptique depuis plusieurs années, mais qui ne semble pas agir. Elle consulte aussi une psychologue.

            Au cours des deux premières consultations nous avons recherché l’origine de sa porosité aux entités, sur le fait de se sentir perdue. Nous avons été amenées à ré-harmoniser :

- des malédictions dans d’autres vies (tant les malédictions que Patricia auraient reçues dans d’autres vies que des malédictions qu’elle aurait elle-même proférées.)

- un viol subi dans son enfance,

- le fait que sa mère ne l’aie pas crue quand elle lui en avait parlé.

- les préceptes de l’église (vu ce qu’elle avait vécu, elle s’est prise pour un imposteur).

- la culpabilité ressentie dans toutes ses vies (y compris vis-à-vis de son mari, elle se rendait compte qu’elle ne pouvait pas lui montrer son amour comme elle aurait aimé le faire.

 

            A la troisième consultation, elle n’a plus les voix qui lui parlent sans arrêt dans la tête, mais est toujours très fatiguée et se plaint de nombreuses douleurs. Nous parlons de son travail avec la psychologue et sommes amenées à faire un travail à partir de :

« Je croyais que maman ne m’aimait pas », phrase qui avait été mise en évidence par la psychologue. Nous trouvons des origines spirituelles et émotionnelles et sommes amenées à ré-harmoniser :

 « Maman ne voulait pas de moi » (origine émotionnelle, pendant la vie intra-utérine)

« J’ai fait du tors à maman dans d’autres vies », (origine spirituelle, alors qu’au départ, les origines spirituelles ne paraissaient pas en cause).

            Comme, « je croyais que maman ne m’aimait pas », ne fait plus baisser l’énergie, nous recherchons l’origine des ses « douleurs du genou droit ». Nous trouvons seulement une origine physique, un accident de vélo à 16 ans, avec lequel Patricia se ré-harmonise.

 

            A la quatrième consultation, Patricia n’a plus eu de perceptions anormales, elle se sent mieux et est moins fatiguée. Elle dit que sa maman avait un problème avec l’alcool et qu’elle-même a un problème avec la nourriture. Au TRM, effectivement, Patricia ne supporte pas le sucre. Nous prenons alors le sucre comme point de départ de l’exploration, nous trouvons une origine physique, des séquelles d’une chute dans la neige.

            Même si nous ne trouvons pas le rapporte entre la chute dans la neige et les troubles du sure, nous harmonisons : « séquelles de la chute dans la neige ».

            Ensuite, le sucre ne fait plus baisser le TRM.

            Patricia se pose des questions : a-t-elle été une mauvaise mère. Nous partons de la phrase : « Je crois que j’ai été une mauvaise mère ». Nous trouvons une origine spirituelle en lien avec des troubles énergétiques, en lien avec son corps mental.

            Là aussi nous ré-harmonisons ce qui a été trouvé, sans comprendre le lien. Patricia va donc répéter : « mon corps mental » pour la ré-harmonisation.

            Ensuite je crois que j’ai été une mauvaise mère n’entraine plus de perturbation au TRM.

            Nous pratiquons alors un travail en Ortho-Bionomy®, une forme d’ostéopathie énergétique en partant des ses douleurs du genou, des lombaires et de ses pieds.

 

            Quand elle revient elle est très heureuse des résultats. Il y a certes encore des mémoires d’incompréhension et d’humiliation datant de son enfance qu’il faudra harmoniser. Elle a beaucoup moins de douleurs. Cette fois des origines infectieuses vont apparaître comme facteurs favorisants des ses douleurs : des séquelles de mononucléose infectieuse, une infection virale et des séquelles du vaccin DTpolio.

 

            Ainsi en quelques séances, la vie de Patricia s’est transformée. Elle peut mener une vie tout à fait normale maintenant. Elle continue naturellement ses neuroleptiques, les consultations régulières avec la psychologue.

            Nous avons suivi les indications données par le TRM, même si nous ne comprenions pas les liens avec le problème soulevé au départ… Et ça a aidé Patricia.

            De même Patricia a continué a prendre le neuroleptique (ce sera au psychiatre de prendre la décision de l’arrêter  devant l’arrêt des perceptions anormales. Patricia continue ses séances régulières avec la psychologue…

 

            Cordialement

            Dr Thérèse Quillé