Le Test de Réponse musculaire
Le TRM peut se pratiquer sur tous les muscles du corps du consultant et ce dans toutes les positions. Pour plus de facilité, nous utilisons souvent l’épaule, ou les doigts. Pour le bras :
Le consultant est assis, il tend son bras vers l’extérieur.
Le praticien demande au consultant de maintenir son bras à l’horizontal, puis exerce une pression sur le bras. Il teste ainsi la résistance du bras selon l’endroit où il exerce la pression, entre l’épaule et la main. Il note l’endroit où le consultant arrive à résister, mais où le bras est moins solide.
Puis il demande au consultant de dire : « je m’appelle (son prénom) », le bras doit rester solide. Puis il lui demande de dire : « je m’appelle (un autre prénom que le sien) », le bras doit avoir moins de résistance et le praticien arrive à faire baisser le bras sans effort.
NB. Le praticien, après que les consultant ait dit : « je m’appelle… », doit attendre une seconde et appuyer sur le bras du consultant pendant une seconde, sans saccade. Normalement quand le consultant dit s’appeler son prénom, le bras est solide alors que quand il prétend s’appeler autrement, son bras n’a pas de force.
En effet, quand c’est le prénom du consultant, il n’y a pas de perturbation énergétique, le bras est solide. Quand le consultant prétend, à tort, s’appeler autrement, il y a perturbation, le bras chute.
Il faut bien garder en tête : bras fort absence de perturbation énergétique, bras faible, présence d’une perturbation énergétique.
Le test peut aussi être réalisé avec tous les muscles du corps.
Par exemple en demandant au consultant de garder pouce et un autre doigt proches l’un de l’autre. Le praticien va essayer de les écarter et noter, là aussi les énoncés qui font baisser l’énergie et empêche le patient de résister au praticien qui essaye d’écarter ses pouce et index.
Le TRM peut aussi être réalisé par la personne elle-même, en auto-test.
En Harmonisation Globale, nous mettons le consultant au centre de la séance. C’est lui qui effectue le TRM avec l’aide du praticien, il est en effet important qu’il se rende compte de le réponse de son corps à chaque énoncé.
NB. Ce n’est pas un test de vérité, c’est seulement un test qui montre la présence ou non d’une perturbation à l’énoncé de la phrase émise.
La convention mentale à mettre en place une fois pour toute, pour ce test est :
Bras fort : pas de perturbation énergétique, pas de toxicité.
Bras faible : présence de perturbations, toxicité à traiter.
Une personne peut ainsi voir son énergie baisser en évoquant une relation extraconjugale de son partenaire. Mais cela ne veut pas dire que son(sa) partenaire l’a trompé(e). Elle peut simplement souffrir de jalousie et imaginer des choses qui n’existent pas. Quoiqu’il en soit, un traitement par HG à partir de : « je crois que mon(ma) partenaire m’a trompé(e) », fera beaucoup de bien s’il entraine une perturbation au TRM.
De même, si vous demandez à un consultant de dire « cancer » et que le bras baisse, cela ne veut pas dire que le consultant a un
cancer, cela signifie que le consultant a une baisse d’énergie quand il évoque le cancer, cela peut être la peur d’avoir un cancer ou le rappel du cancer d’un proche par exemple.
Utilisation du TRM pendant la séance en HG
Mise en mots de la perturbation
Quand le TRM avec les prénoms est effectué, l’étape suivante consiste à mettre en mots la perturbation qui a amené le consultant à demander une séance. Le consultant décrit son trouble, met des mots sur sa perturbation, puis consultant et praticien vérifient que l’énoncé des perturbations fait baisser le TRM, donc l’énergie du consultant.
Mais ce n’est pas toujours facile : une personne vient par exemple pour des migraines, mais au TRM, « j’ai des migraines » ne fait pas chuter le TRM. Pourquoi ? En fait le consultant a souvent des migraines, mais n’en a pas au moment de la consultation. La phrase qui résumera la perturbation du consultant sera « j’ai souvent des migraines ». De même une personne vient pour des douleurs du genou droit, mais le TRM avec « douleur du genou droit » n’entraine pas de baisse du TRM, et pour tant la personne dit qu’elle a mal au genou droit ! Le praticien va demander à la personne de dire : « J’ai mal au niveau du genou droit », et cette fois le TRM va baisser ! L’origine du trouble n’était peut-être pas le genou lui-même mais une cruralgie (une douleur du nerf crural).
Recherche de l’origine ou des origines de la perturbation
Consultant et praticien vont alors, reprenant la phrase qui résume la perturbation, par exemple « j’ai mal au genou droit en position debout », et y associer une famille d’origine : « j’ai mal aux genoux droit en position debout, d’origine physique » : si cela entraine une chute du TRM, cela veut dire qu’il y a une origine physique au trouble. Si cela n’entraine pas de chute, c’est qu’il n’y a pas présentement d’origine physique à chercher et à traiter.
De la même manière, s’il y a une origine émotionnelle ou une origine spirituelle au trouble, le TRM sera utilisé pour trouver cette origine émotionnelle ou spirituelle.