« Trouble d’origine spirituelle (ou origine du monde de l’esprit) » ?

     Les termes « spirituel » ou « esprit » peuvent prêter à confusion, mais je n’en ai pas trouvé d’autres. Pour moi, cela n’a rien à voir avec la religion, mais concerne tout ce qui n’est ni du domaine physique, ni du domaine psychique. Il peut s’agir des influences qui étaient là à notre naissance : les troubles d’origine karmiques pour ceux qui y croient, les influences familiales, c'est-à-dire les schémas familiaux qui se reproduisent à chaque génération.


     Ce peut être aussi des influences d’autres personnes : par exemple, certaines personnes sont enviées, jalousées pour leur réussite. Ces pensées peuvent se regrouper et former des égrégores (ou forme-pensée) et l’égrégore va perturber la personne. Je teste alors «égrégore». C’est le même phénomène qui se produit quand certaines personnes utilisent la magie, le vaudou… C’est facile de libérer quelqu’un, mais la difficulté est de l’empêcher d’être à nouveau atteint si les forces sont envoyées en permanence ! Le praticien peut alors rechercher
avec le patient un moyen de le rendre moins perméable à ces influences. On peut tester et traiter « sensibilité aux égrégores de jalousie » par exemple.


     C’est le même mécanisme qui entre en jeu avec ce que certains appellent des « entités ». Généralement ce sont des « mémoires » laissées par des personnes décédées. La partie divine de la personne décédée a rejoint le plan causal, mais la partie psychique, très attachée à la terre, aux possessions, à sa vie ici, continue une vie autonome qui peut être très perturbante pour les personnes qui vivent autour. Là aussi on peut tester et traiter : «sensibilité aux entités». Dans certains cas, on peut aussi aider la personne décédée à quitter le plan de la terre.


     Ce peut-être aussi l’intrication qui perturbe le consultant : il a appris qu’un de ses proches avait une maladie grave et c’est comme s’il prenait sur lui cette atteinte. Il s’en rend malade, mais cela ne diminue en rien les troubles du proche ! C’est comme si, le voyant dans un puits, il descendait avec lui dans le puits ! Alors que s’il reste à l’extérieur du puits, il pourra guider la personne pour l’aider à en sortir ! Certaines personnes captent très facilement les pathologies d’autrui et s’en rendent malades, mais cela n’allège en rien le fardeau de la personne atteinte.


     Il faut apprendre à se centrer, à s’ancrer, à rester simple témoin pour être beaucoup moins sujet à ce genre de phénomène et si cela nous arrive, nous pouvons nous en débarrasser en HG en répétant «troubles par intrication en lien avec la maladie de ma fille » par exemple.


     Cela arrive régulièrement aux thérapeutes de prendre des troubles liés à leur patient quand ils ne sont pas vigilants et sont mal centrés en eux-mêmes pendant le soin énergétique. Ils se sont par exemple mis dans la volonté de guérir leur patient. Il suffit alors de se faire traiter par un praticien en HG.


     Certaines personnes peuvent ainsi ressentir les douleurs de leurs voisins dans le train… Il est important pour eux de reconnaître le mécanisme et d’apprendre à s’en protéger.


« Trouble lié à des vies antérieures ? » (Qu’est-ce que je n’ai pas accepté d’une autre vie et que j’ai ramené ici pour libérer mon être intérieur ?). NB : Les enfants viennent au monde avec des « mémoires ». Peut-être sont-elles dues aux vies antérieures personnelles, ou peut-être sont-ce des charges vécues par d’autres et dont ils se sont chargés en venant sur terre ?


« Troubles liés à mes ancêtres ? » (lesquels, qu’est-ce que j’essaie de reproduire, de racheter?)


« Troubles liés à de l’intrication ? » (avec qui ? sur quel élément ?)


« Troubles lié à l’ego ? » (à l’image que j’ai de moi, à mes croyances...)


« Troubles liés à des égrégores (forme-pensée) ? »


« Trouble lié à des entités ? »


     Parfois, après avoir pratiqué l’HG et obtenu un résultat, on se dit qu’on aurait dû poser d’autres questions pour mieux comprendre comment les mémoires se sont installées. Dans ce
cas, c’est très facile, il suffit d’employer le passé. Par exemple :
« L’intolérance au gluten était d’origine physique »
          « L’intolérance au gluten était d’origine psychique »…

« Trouble (nommer le trouble) d’origine physique » ?

     Pour moi l’origine physique concerne les troubles suite à un traumatisme physique, une chute, un accident, suite à une allergie, une intolérance, une intoxication, parfois à un traitement mal supporté, suite à des carences, à des excès alimentaires, à des expositions excessives au bruit, au soleil, aux rayonnements…


     Ainsi, si l’origine est physique, on peut demander :


« Trouble d’origine traumatique ? » accident, intervention chirurgicale…


« Trouble d’origine alimentaire ? »


« Trouble par intolérance ou allergie alimentaire ? »


« Trouble par intoxication ? »


« Trouble par intolérance à un médicament ? »


« Trouble par excès alimentaire ? »


« Trouble par carence, par manque ? »


« Trouble d’origine environnementale ? »


« Trouble lié à une allergie ou intolérance environnementale ? » (Poussières, pollens, aérosols, plantes, parfums, contacts physiques, mais aussi réaction à certaines personnes…)


« Trouble lié aux rayonnements ? » (Rayonnements électromagnétiques, telluriques…)


« Trouble lié à une infection ? » (virale, bactérienne, mycosique, parasitaire…) mais aussi les vaccins…

« Trouble d’origine psychique » ?

     L’origine psychique concerne tout ce qui a trait au psychisme, aux émotions, aux sentiments : abandon, incompréhension, jalousie, colère, manque de confiance en soi, manque de reconnaissance, culpabilité, honte, dévalorisation, rejet, peurs, angoisses,… la liste est très longue. Ce sont des sentiments, des émotions que le patient a vécu lui-même, qu’il ait été conscient ou non du traumatisme. Parfois il ne peut s’en souvenir parce qu’il était trop jeune, ou que son conscient a oublié car c’était trop traumatisant.


     Notez bien que ce n’est pas la personne rencontrée qui a causé le trouble, mais la réaction du patient à cette personne, à son attitude. En HG, on ne modifie pas l’entourage, mais on aide
la personne à mieux vivre, à ne plus se rendre malade des difficultés rencontrées.


« Trouble lié à de la colère ? » contre une injustice, un rejet…


« Trouble lié à une incompréhension ? »


« Trouble lié à un regret ? »


« Trouble lié à de la jalousie ? »


« Trouble lié à de la peur ? » (faire préciser l’objet)


« Trouble lié à de la honte ? »


« Trouble lié à un sentiment de rejet ? »


On peut rechercher avec qui le trouble s’est produit :
« Trouble lié à la famille ? (Mère, père, enfants,…)


« Trouble lié au monde du travail ? » (Patron, collègues, clients, inspecteur…)


« Trouble lié aux amis ? », (aux voisins, à des inconnus…)


On peut rechercher la date de l’événement traumatisant…