Recherche de l'élément perturbateur

     Toujours commencer par le test avec les prénoms. Vérifier que le patient a plus de force quand il utilise son vrai prénom que lorsqu’il affirme s’appeler autrement.


     Puis mettre le patient en contact avec l’élément perturbateur de façon à ce qu’il se « synchronise » avec lui :


     Δ _ Ce peut être un allergène, par exemple des poils de chat, de la poussière, des arachides, et même un médicament… Le sujet n’a pas besoin de tenir directement le produit en cause, de le respirer ou de l’avaler : le produit peut être dans un flacon fermé. Tout corps émet des radiations. Celles du sujet testé sont ou ne sont pas en harmonie avec elles.


N.B. : quand on veut tester un patient sans l’influence de l’allergène, il faut éloigner celui-ci suffisamment : à 10 cm, il modifie encore l’énergie du patient.


Exemple :
     Le sujet tient un flacon contenant de la poussière. Le testeur va évaluer la force musculaire du sujet testé. Si celle-ci est forte, il n’est ni allergique ni intolérant ; si le bras ne résiste pas, il est allergique ou intolérant au produit testé.


     Au TRM, il ne semble pas véritablement y avoir de différence entre l’allergie et l’intolérance sinon une différence d’intensité. Le traitement en HG est identique dans les deux cas et obtient les mêmes résultats surprenants.


     Différents allergènes environnementaux, alimentaires, peuvent être testés de la même manière ce qui permettra de qui diminuent la force musculaire le plus fortement.


     Il est aussi possible que le patient se « synchronise » avec l’élément perturbateur, avec l’allergène, simplement en le nommant. Ainsi le consultant peut tenir le flacon de poussière ou énoncer « poussière », le résultat sera le même. Cela facilite les choses, par exemple si l’on ne dispose pas d’échantillon de l’élément en cause ou si on veut traiter le froid, l’humidité…


     Δ – L’élément perturbateur peut également être une pensée toxique.


     Quand nous pensons à un moment difficile, à quelque chose que nous appréhendons, nous nous sentons moins bien, notre gorge se serre, notre poitrine se contracte. Ainsi nous pouvons pleurer en évoquant le décès d’une personne que nous aimions beaucoup, parce que l’évocation de ce moment difficile du passé provoque des réactions physiques.


     Le manque de confiance en nous, les peurs : de manquer, de ne pas être aimés, d’être rejetés font partie de ces pensées toxiques. Nos attitudes, nos décisions pourront être perturbées par ces ressentis anciens mais qui résonnent encore en nous, même si nous n’en avons pas conscience.


Exemple :
     Imaginons qu’une peur de manquer soit restée en nous, suite à un épisode difficile de notre enfance. Nous allons vouloir garder les choses pour nous, au lieu de les partager, ce qui aura pour effet de nous isoler tout en continuant à nous faire vivre effectivement le manque. Au contraire, si nous vivons dans l’abondance, dans le sentiment que nous disposerons toujours du nécessaire, nous allons partager, nous allons attirer à nous les situations d’abondance et effectivement, nous ne manquerons de rien.


     Notre pensée est très puissante : on a vu un homme mourir de froid en quelques heures dans un wagon frigorifique où il avait été enfermé quelques heures par mégarde. Pourtant, le wagon n’était pas branché, il ne faisait pas froid et le wagon était aéré !


      Pendant le TRM, le sujet exprime sa pensée, sa peur. Par exemple : « jalousie ». Le thérapeute va évaluer si la force musculaire du patient a diminué ou non à cette évocation. Si le bras ne baisse pas, la jalousie n’est pas en cause ; au contraire si le bras chute, la jalousie perturbe le sujet et devra être traitée.


On peut ainsi tester différentes sentiments, différentes mémoires et choisir de traiter celle qui fait le plus diminuer l’énergie de la personne.


     Δ _ Ce peut être aussi un organe défectueux, en souffrance, qui fonctionne mal. Le patient va se « synchroniser » dessus en répétant par exemple « insuffisance rénale », « troubles de la conduction nerveuse », etc.


     Δ _ Il est aussi possible de tester plusieurs éléments ensemble, par exemple chez une même personne :
      - Douleur du dos : ↓ (le bras baisse, perturbation)
     - Douleur du dos d’origine physique : → (le bras résiste, les douleurs du dos ne sont pas d’origine physique)
     - Douleur du dos d’origine psychique : ↓ (il faut rechercher l’origine psychique des douleurs et la traiter, sinon il peut y avoir récidive rapidement)

     - Si : « douleur du dos liée à la colère » :↓ (il faudra continuer pour définir l’objet de la colère ; pour cela on peut rechercher le moment où la perturbation a commencé, avec qui…)
     - Si : « douleur du dos liée à la colère » : → (la colère n’est pas en cause. Peut-être la peur, l’abandon, la non reconnaissance…)