Autres recherches sur l’intolérance au gluten

     Patricia est elle aussi intolérante au gluten depuis 8 ans, depuis la naissance de sa fille.


     « Intolérance au gluten d’origine physique» :→

     « Intolérance au gluten d’origine psychique» :↓

     « Intolérance au gluten d’origine spirituelle» :→

     L’intolérance au gluten est donc d’origine psychique. Le praticien demande à Patricia comment elle a vécu son accouchement. Elle dit que tout s’est bien passé, la grossesse aussi. C’est alors que Patricia dit que quand elle a vu sa fille, si belle, elle s’est sentie indigne de s’occuper d’elle !


     « Ma fille est trop bien pour moi » :↓

     « Intolérance au gluten liée à cette indignité »↓

     Patricia répète alors « ma fille est trop bien pour moi » pendant l’HG. Au contrôle, le bras résiste, de même pour : « intolérance au gluten ».

     Depuis, Patricia peut à nouveau manger du gluten sans être ballonnée, sans ressentir la grande fatigue qui l’avait fait arrêter le gluten.


     Hélène est elle aussi intolérante au gluten. Depuis qu’elle l’a supprimé de son alimentation, elle se sent beaucoup moins fatiguée, ses reins fonctionnent mieux…


      Recherche de l’origine de cette intolérance : cette fois, c’est l’origine spirituelle qui entraîne la chute du bras.

     La recherche continue avec « origine karmique » :→, « origine liée à un égrégore (ou forme-pensée) » :→, « origine par intrication » :↓

Comme Hélène ne voit pas ce qui a pu se passer, le praticien recherche l’âge auquel le trouble est apparu : c’est à l’âge de 33 ans. Elle dit alors que sa sœur est décédée d’un cancer, mais quand elle-même avait 36 ans. Par contre, elle a su que sa sœur avait un cancer quand elle avait 33 ans.

     « Intolérance au gluten par intrication avec ma sœur qui avait un cancer » :↓

     Le travail en HG se pratique avec la phrase : « Intrication quand j’ai appris que ma sœur avait un cancer ». Après l’HG, le bras résiste avec la phrase traitée et avec « intolérance au gluten ».

     Depuis, Hélène continue son régime d’exclusion du gluten par précaution, mais n’est plus gênée par une entorse à son régime.


     Nous voyons ainsi comment l’histoire de chacun est particulière, ce qui est valable pour l’un ne l’est pas pour l’autre, explorons, sans à priori. Encore une fois, le seul risque, c’est qu’il n’y ait pas d’amélioration ou que cette amélioration ne dure pas parce qu’un des facteurs n’a pas été mis en évidence et n’a pas été traité.